Lullabyss
SINNER ♦ Paresseux/Paresseuse
MESSAGES : 107
INSCRIPTION : 03/11/2009
♦ Shut up ! Gold.SIWG: 25 NIVEAU: Intermédiaire BOÎTE DE PANDORE:
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Sujet: [Ecriture] Lullabyss ~Intermédiaire Sam 7 Nov - 17:15 |
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D'abord, je vous demande pardon, j'avais posté dans un défi avant de m'apercevoir que je devais d'abord définir un niveau *faut pas sauter les étapes*. J'ai donc supprimé mon message.
Pseudo : Lullabyss Depuis combien de temps écrivez vous : Depuis... Longtemps ? On va dire que je m'y suis mise plus sérieusement quand j'avais treize ans, mais j'écrivais déjà depuis mes dix-onze ans. Aujourd'hui, j'ai dix-sept ans, donc à vous de voir. Pourquoi ? : Parce que j'ai toujours aimé écrire. Et je m'y suis mise plus sérieusement à treize ans parce que je savais que ça me permettait de rester debout même aux pires moments. Ratatinée, le nez pointé sur mes pieds, suicidaire sûrement, mais debout quand même. Aujourd'hui, je ne peux plus me passer de l'écriture. Montrez-nous quelques écrits de votre choix :
- Spoiler:
Pâle heure sans nom
Pâleur sans nom Qui me prend les yeux Qui me prend les cieux
Pâleur sans nom Qui surprend les yeux Qui surprend les cieux
Pâleur sans nom Eblouit les yeux Eblouit les cieux
Pâle heure sonnons Aveuglons les yeux Des heureux cieux
Soyons blancheur Soyons la peur De ce grand chœur Plein de bonheur
Soyons sa terreur jusque dans ses mœurs Soyons sa douleur son torrent de pleurs Soyons sa torpeur emplie de froideur
Soyons sa sœur et son tueur
Pâle heure sans nom Arrachant mes yeux Soyons blancheur soyons rougeur
- Spoiler:
Te souviens-tu de la fois où tu étais tellement malade que ta température montait et descendait de façon alarmante ? Te souviens-tu ses bouffées de chaleur très vite suivies de tremblements ? Te souviens-tu avoir presque vu le brouillard s’installer dans ta chambre pour te glacer ensuite les doigts avant la prochaine bouffée ? Te souviens-tu de toutes ces couleurs vives qui traversaient tes pauvres yeux habitués au gris et au noir ? Te souviens-tu avoir presque vu des mouvements dans ce brouillard alors que tu étais seule dans ta chambre ? Te souviens-tu avoir enfin réussi à te relever pour danser avec le fantôme que tu aimes tant ? Car c’était durant ces moments qu’il était le plus présent, c’était durant ces moments qu’il était le plus lumineux, c’était durant ces moments que tu pouvais enfin… le toucher. Et le serrer contre toi, et sourire, et presque rire. Presque. Mais le rire restait toujours coincé dans ta gorge. Alors tu y portais une main, parce que tu commençais à avoir une boule, là, tu avais envie de pleurer, de hurler, mais tu n’y arrivais pas, tu étais trop malade, et tu avais mal, tellement mal, et à cause de la fièvre, ta tête se mettait à tourner, et pour ne pas tomber et te faire mal, tu préférais t’allonger sur le sol froid, et tu te roulais en boule, gémissant péniblement. Tu redevenais pitoyable.
- Spoiler:
N’ayez pas peur, les tout petits, n’ayez pas peur des chenilles, des araignées ou des loups. Les chenilles deviennent papillons, les toiles d’araignées deviennent toiles de verre, les loups deviennent pleureurs. Ils sont tous liés à la Lune, puisque les papillons rêvent d’elle, puisque les toiles de verre se nourrissent de sa lumière, puisque les pleureurs lui confient leurs larmes. La Lune veille sur vous la nuit, tout en douceur, elle vous câline et vos chagrins s’envolent dans la douce brise. N’ayez pas peur, les tout petits, n’ayez pas peur de la nuit, n’ayez pas peur de ses ténèbres, n’ayez pas peur de ses âmes errantes qui luisent.
- Spoiler:
Une jeune fille frêle errait dans les rues de Londres, marchant d'une façon telle qu'on croyait qu'elle allait à l'instant qui suivait s'éteindre sur le sol comme la flamme d'une bougie sous le vent. Il était sombre et personne n'osait sortir dans les rues à cette heure-ci, à part pour raser les plus larges et les plus éclairées. Mais une jeune femme de vingt ans tout au plus, emmitouflée dans des tissus, qui traversait les rues d'un pas pressé et tendu, aperçut enfin ce corps fragile qui tenait à peine debout. Elle s'en approcha et la première chose qu'elle remarqua fut cette lueur rougeâtre dans les yeux de la petite quand celle-ci leva un regard brisé vers elle. La jeune femme se figea soudain, à deux mètres à peine de la demoiselle. Elle remarqua alors que sa chemise dévoilait une épaule maigre et que sa jupe froissée laissait filtrer quelques gouttes qui éclatait sur les pavés de façon inquiétante. « Oh mon Dieu ! » Elle déposa une main affolée sur l'épaule de la jeune inconnue et, n'osant pas formuler une seule phrase qui détruirait un peu plus cette âme tourmentée, la tourna d'un pi avant de la guider doucement dans les rues. La petite se laissa faire docilement, les yeux semi-absents et rougis par la fatigue et la douleur. Elle fut amenée devant le cabinet d'un médecin qui, après de violent coups frappés sur sa porte, ouvrit une fenêtre au premier étage pour crier d'une voix furieuse : « Non mais avez-vous une idée de l'heure qu'il est ? Allez-vous-en, misérables pauvresses ! -Monsieur, répondit la jeune femme, je suis ici pour une urgence. La jeune fille ici-bas a besoin de soins urgents. Je vous en supplie pour elle, descendez. » Le silence n'eut le temps de s'installer, la fenêtre se fermait déjà en claquant, une lumière vacillante émergeait alors de la vitre puis s'estompait lentement. Plus tard, la porte s'ouvrait et présentait un homme en robe de chambre tenant une bougie dans sa main droite. Lorsqu'il entendit un clapotis isolé et aperçut l'état épouvantable de la fillette, il comprit. Alors il tendit la main et poussa doucement la petite vers l'intérieur.
Deux heures plus tard, on avait nettoyé la petite inconnue, lui avait enfilé une chemise de nuit et allongée dans un lit. Le médecin l'avait étudiée sans pour autant violer l'intimité de son corps, mais suffisamment quant même pour supposer qu'elle devait avoir autour de douze ans et qu’elle était peut-être apte à tomber enceinte… Il faudrait le lui demander pour en être sûr, mais la petite fixait la fenêtre de yeux absents et malheureux et ignorait tout le reste. Elle était sans doute en état de choc… Une demi-heure s’était écoulé, et la jeune demoiselle ne fermait toujours pas les yeux. Le médecin tenta en vain d’attirer son attention, alors il s’imposa entre elle et la fenêtre. « Mademoiselle ? » l’appela-t-il pour la énième fois. Son yeux bougèrent enfin. Ils se fixèrent timidement sur l’homme qui l’observait avec inquiétude. « Mademoiselle ? Comment allez-vous à présent ? » Elle était si détruite dans son regard, si profondément encrée dans les ténèbres de son silencieux tourment. Si elle ne disait pas mot avant le lendemain matin, le médecin serait obligé de l’amener dans un orphelinat avant que l’on réclame une disparition d’enfant. Mais cette initiative ne lui plaisait guère, et il espérait que la petite le renseignerait sur son identité avant le lever du soleil. Par conséquent, cette attention était un bon signe… Mais ce n’était pas assez. Car elle ne répondait pas. Elle le fixait sans ciller de ses yeux étrangement rouge sang comme ces dégénérés de vampires. Elle le fixait sans un mot, sans le moindre message sur son visage à part cette même et profonde tristesse. Il allait refaire un essai quand elle serra soudain les paupières et, d’un geste dément, monta ses mains au niveau de sa tête en se tournant sur le côté. Alors elle hurla sans ménagement.
Il n’avait pas eu le choix… Elle était en pleine crise de démence, il avait fallu l’endormir… Il s’était assis sur une chaise sans quitter la chambre et se tenait lui aussi la tête dans les mains mais de façon pensive et inquiète. Yeux écarlates, affreuses cicatrices blanchâtres sur les poignets, démence… Elle devait être possédée par un démon. Elle allait mieux physiquement, ses petites blessures autres que celle de son intimité sans doute encore vive guériraient vite et la plupart ne laisseraient pas de cicatrices.
Le soleil se levait lorsqu'elle émergea de son sommeil artificiel. Le médecin avait quelque peu somnolé sur sa chaise n'en avait pas bougé afin de veiller sur cette fillette. Il ne pouvait se permettre de la perdre de vue. Elle était fragile, en état de choc, avait besoin de soins... et allait peut-être encore dans une crise de démence. En la voyant ouvrir les yeux, il se leva de sa chaise et, à nouveau, l'interpella. Elle le fixa d'un regard nouveau. Un regard qui semblait avoir retrouvé sa lucidité. Dans un espoir, le médecin lui adressa de nouveau la parole : « Dites-moi comment vous vous sentez à présent. » La jeune fille dévia les yeux vers la fenêtre et, d'une voix encore affaiblie : « J'ai mal. »
« Comment vous appelez-vous ? -Je n'ai plus de nom. » L'homme jeta un coup d’œil interrogateur au médecin qui se contenta de hausser les épaules, lui montrant ainsi qu'il n'en savait pas plus que lui. L'homme redirigea son regard vers la fillette et reprit la parole. « Parlez-moi de vous. Quel âge avez-vous ? Qui sont vos parents ? -Cela n'a pas d'importance. » L'homme eut un bref mouvement de sourcils, passant de l'étonnement à l'agacement. Il tenta toutefois : « Vivez-vous au moins avez vos parents ? » Une façon dérivée de lui demander si elle était orpheline ou pas. « Nous sommes en enfer. Mais point le même. » Nouvelle surprise. Quelles étaient donc ces paroles en désaccord avec celle attendue ? Si elle ne parlait pas de ses parents, cela n'aurait plus le moindre lien. Il n'était d'ailleurs pas sûr qu'elle parlât réellement d'eux, son langage était trop évasif. De plus, le fait qu'elle nommât l'enfer coïncidait avec la couleur de ses iris. Cette couleur n'effrayait guère l'homme mais le rendait méfiant. Et si cette petite était possédée ? Peut-être le médecin aurait-il dû l'amener l'exorciser ? Il existait sans doute des gens pour cela... Après un silence, l'homme reprit la parole, s'adressant cette fois au docteur : « C'est bon, nous allons la garder. »
L’adolescente aux yeux rouges n’avait pratiquement pas ouvert la bouche depuis son arrivée une semaine plus tôt. On ne connaissait toujours pas son nom et elle refusait qu’on lui en donne un. Les autres orphelins avait donc commencé par la nommer « La nouvelle aux yeux rouges ». Mais, se voyant superbement ignorés, ils la surnommèrent « La Diablesse aveugle », vexés, et certains faisaient même semblant d’avoir affaire à une aveugle tant l’absence d’attention que leur portait la jeune fille était profonde. Mais ce surnom était surtout dû à la nouvelle crise de démence qui avait pris cette fillette dans sa propre chambre. Elle s’y était enfermée et on l’avait entendue hurler à plein poumons. Lorsqu’on avait défoncé la porte, elle était allongée par terre dans la position fœtus, les yeux crispés, les jambes serrées. Elle s’était montrée étonnement rigide lorsque les adultes avaient voulu la soulever. Une fois installée tant bien que mal sur son lit, elle ne s’était pas détendue. Près de la porte s’agglutinaient une masse d’orphelins qui la regardaient. Une rumeur la secouait déjà à propos de cette fille qui pouvait peut-être bien être possédée… Elle ne mangeait que le strict minimum, si bien qu’elle avait perdu beaucoup de poids. Lorsqu’on lui répétait les questions quant à son identité, elle répondait de façon évasive. Et lorsqu’on lui disait qu’il fallait quand même qu’on mette un nom sur son nouveau dossier, elle refusait. « Non, disait-elle, c’est fini, je n’ai plus de nom. »
Le huitième jour, on ne la trouva plus. Sa fenêtre ouverte et les draps accrochés dehors descendant jusqu’au pied du bâtiment montraient bien clairement qu’elle s’était enfuie. On la chercha d’abord dans tout l’orphelinat. Les grilles étaient hautes et terminées de pointes, et l’adolescente maigre et frêle. Elle n’avait pas pu passer, pensait-on. Mais on ne la trouva pas. Car elle avait bel et bien réussi à s’enfuir.
***
Elle s’installait au sommet de sa colline. Celle au sommet de laquelle elle avait vu un merveilleux champ de fleurs qui n’était que souvenir maintenant que sa Niizie était partie. Elle se souvenait parfaitement de ce jour où elle avait gravi la colline avec difficulté sur ses petites jambes sous le regard affectueux de Niiza. Une ascension difficile mais qui n’avait pas été vaine, car ce qui avait attendu l’enfant avait dépassé de loin toutes ses espérances. Des fleurs, des fleurs, des fleurs. Des couleurs, des parfums qui l’avaient attendue de l’autre côté, juste au pied de la colline. Qu’il était loin ce temps où le moindre papillon soulevait dans son cœur un vif intérêt mêlé de fascination. A présent, l’adolescente noire qu’elle était les attrapait d’un geste vif qu’on ne lui devinait pas et les écrasait sans ménagement dans son poing, l’ouvrant ensuite pour observer les débris s’envoler dans le vent, quelques uns restant collés à sa paume qu’elle essuyait alors avec un brin d’herbe. Les papillons revenaient toujours autour de la colline, inconscients du danger pourtant séducteur qui y rôdait. Ils voletaient près des jambes de la demoiselle immobile qui les fixait d’un regard sombre. Ses lèvres ensuite s’étiraient en un sourire inquiétant. Et elle murmurait des mots aussitôt cueillis par la brise. « Bonjour, Niizie. »
Depuis qu’elle avait enfin quitté cet austère endroit où l’enfer riait sans jamais cesser, elle avait arrêté de hurler. Ses crises durant lesquelles elle se tenait la tête tant ce qui lui traversait était affreux avaient perdu de leur vif éclat, ne gardant qu’une acide amertume à laquelle elle allait s’accoutumer peu à peu. Ce n’était pas pour autant qu’elle n’était plus démente, mais elle avait simplement posé une main sur sa démence afin de limiter ses effets trop vifs. Elle savait que Niiza était là, tout près d’elle, qu’elle la contemplait avec les yeux peints sur les ailes des papillons. Elle le savait, et cela lui faisait un grand bien… tout en l’encourageant à tuer un à un tous ces merveilleux petits insectes qui marquaient sa route d’un battement d’ailes. Alors quand elle souhaitait voir ce qu’allait faire la Reine dans un proche avenir, elle appelait d’abord sa Niizie. Ensuite seulement elle réfléchissait ce qu’elle voulait voir de la Reine. Les premières fois, elle était restée vague, très vague… Puis, plus elle en avait appris sur les habitudes de la Reine, plus elle était précise dans ses souhaits. La Reine semblait avoir un petit emploi du temps… du moins, c’était souvent à la même période de la journée qu’elle ouvrait un grimoire de magie noire pour en apprendre toujours plus sur la magie noire de la sorcellerie que l’adolescente avait découvert tout récemment grâce à ce qu’elle voyait. Qu’il était bon de s’instruire avec une telle facilité… Qu’il était bon de savoir ce que la Reine ferait quelques heures ou quelques jours plus tard, quelle nouvelle formule elle apprendrait. Certes, l’adolescente n’y comprenait pas grand chose. Mais une chose la confortait : la Reine était bien plus déchue qu’elle. Toujours ce regard mélancolique, même envers ses filles. L’adolescente avait observé un peu la famille en général. Et elle avait méprisé la princesse Helena dès la première fois où elle avait aperçu son visage. Elle aussi connaissait la magie noire, tout comme ses sœurs… Toutes les princesses de cette familles étaient aussi déchues que leur mère, mais c’était Helena que la demoiselle haïssait le plus. Si elle en était capable, elle ferait subir mille tortures à cette princesse sous les yeux de la Reine. Si elle en était capable, elle briserait cette famille déjà étouffée par la noirceur.
Mais la demoiselle perdait peu à peu la notion du temps. Elle passait ses jours à jouer du piano, se jucher sur sa colline hors de la ville, escalader la cathédrale pour observer la capitale, son fleuve, son Big Ben, ou la famille royale. Elle perdait la notion du temps… et du passé. Sans s’en rendre compte au début, son passé devint doucement plus vague, strié de vides et de noirs. Elle ne le réalisa que lorsqu’elle se rendit compte que tout souvenir lié à son père avait disparu. Avait-elle au moins eu un père ? Sans doute, puisqu’elle avait vécu dans un quartier aisé, dans une belle maison quoiqu’un peu petite. Elle avait prié pour oublier ses tourments, elle suppliait maintenant Niiza de rester auprès d’elle et de protéger ses souvenirs. Il était hors de question d’oublier sa mère, sa Niizie et tous les bonheurs qu’elle avait vécus. Malgré sa nature affreuse et son crime de l’existence, elle ne voulait pas oublier qui elle était. Elena. Avec une lettre en moins. Avec du passé en moins. Avec une vie en plus.
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L’amour… D’abord le cœur s’enflamme sous la passion, puis il se rend compte qu’il devient cendres, alors il se met à hurler. Mais il peut hurler et pleurer tant qu’il le voudra, jamais ne s’éteindront les flammes. Alors le cœur se meurt dans l’océan de ses larmes, brûlé et noyé dans les abîmes de l’amour.
- Spoiler:
Larmes écumantes Écrasantes Par leur absence
- Spoiler:
Ne jamais rire Ne plus pleurer S’oublier
Faites vous du rp : Oui, depuis mes treize ans justement. J'ai commencé le RP en même temps que la poésie. Je suis inscrite sur trois forums (dont deux où je suis récente et suis sur le point d'écrire le premier RP) : un réaliste (connaissez-vous la Wammy's House ?), un fantasy (dans l'ambiance de l'Angleterre du XIXème) et un troisième qui se déroule dans un Tokyo un peu futuriste coupé du monde. Autre chose : Merci d'avance.^^
Dernière édition par Lullabyss le Dim 8 Nov - 11:51, édité 1 fois
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Mitsukane
ARBITRES ♦ Love justice
MESSAGES : 139
INSCRIPTION : 02/10/2009
AGE : 31
CREDITS : Moi même
CITATION : "Homme ! libre penseur .Te crois-tu seul pensant" Nerval
♦ Shut up ! Gold.SIWG: 83 NIVEAU: Intermédiaire BOÎTE DE PANDORE:
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Sujet: Re: [Ecriture] Lullabyss ~ Intermédiaire Dim 8 Nov - 15:52 |
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Bonjour, voilà le résultat Tu es Intermédiaire - Citation :
INTERMÉDIAIRE -> Vous savez faire énormément de choses. Vous avez l'habitude de créer/écrire et cela se voit. Vous avez de très bonnes bases et vous êtes consciencieux dans votre travail. C'est le niveau correct du forum. Tes poèmes sont réussis, tout du moins pour ma part, ça dépend des goûts. Tes histoires sont accrochantes, tu as un style interressant et tu ne fais pas trop de fautes d'orthographes. Cependant , certaines tournures de phrases sont un peu lourde à la lecture, n'hésite pas à les couper et à alleger ^^
Des questions? N'hésite pas ^^
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